Forum humour et Blagues: devinettes, histoires droles, photos marrantes, vidéos humour pour se divertir, Bongag ze forum pour rire et s'amuser :)
video humour blagues gag video humour rigoler rire
Humour Video Gag


 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil      ConnexionConnexion 
 
Forum Bongag.com
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet     Forum Humour et Blagues -> Cherche texte blague concernant des jésuites & fran 
Auteur Message
Charlus 04
Invité





MessagePosté le: 07 Avr 2004 14:24    Sujet du message: Cherche texte blague concernant des jésuites & fran Répondre en citant

Je cherche le texte d'une blague qui raconte comment des jésuites et des franciscains se battent pour un iscle (île). Qui peut m'aider ?
Revenir en haut
Humour et bongag
bongag
Administrateur


Inscrit le: 17 Avr 2003
Messages: 903
Localisation: Devant le pc

MessagePosté le: 07 Avr 2004 15:08    Sujet du message: Répondre en citant

Rien trouve dans google, a part celle la mais rien a voir avec un combat pour une ile ...

Panne d'électricité.

Un Franciscain, une Jésuite et un Dominicain dînent ensemble.
Soudain, un orage éclate et la lumière s'éteint.
- Voyez, mes amis, dit le Franciscain, c'est une leçon de Dieu. Si, au lieu de nous éclairer à l'électricité, nous étions restés fidèles aux lampes à huile des premières heures de la chrétienté, nous aurions encore de la lumière.
- Certes, dit le dominicain c'est une leçon divine. Mais le Tout-Puissant a surtout voulu nous montrer la vanité des entreprises humaines. Nous croyons avoir dompté les forces de la nature, capté l'énergie des torrents, et...
A cet instant, la lumière se rallume. Le Jésuite venait de remettre les plombs.

Essaies de demander dans les groupes de news genre fr.record humour y a plus de monde qu'ici ...
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer l'e-mail Visiter le site web du posteur
Humour et bongag
lol
Invité





MessagePosté le: 02 Juil 2004 19:58    Sujet du message: Répondre en citant

lol il pourrait dire merci au moins !! Merci pour la blague !
Revenir en haut
Humour et bongag
bongag
Administrateur


Inscrit le: 17 Avr 2003
Messages: 903
Localisation: Devant le pc

MessagePosté le: 04 Juil 2004 2:40    Sujet du message: Répondre en citant

merci lol
ca l'a pas faire rire ma bague c rien Clin d'oeil
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer l'e-mail Visiter le site web du posteur
Humour et bongag
yelichka
Invité





MessagePosté le: 28 Aou 2005 11:11    Sujet du message: jésuite Répondre en citant

un Jésuite se trouve à Rome.
Il demande à un dominicain :-c'est par ou pour visiter la Sainte-chapelle?

-Vous ne rouverez jamais, c'est tout droit
Revenir en haut
Humour et bongag
Invité






MessagePosté le: 30 Mai 2006 18:21    Sujet du message: Répondre en citant

[color=red][/col Fou Tire la langue Cool Surpris Rit or]
Revenir en haut
Humour et bongag
alceste
Invité





MessagePosté le: 06 Oct 2007 13:15    Sujet du message: jesuite franciscain Répondre en citant

si c'est celle du duel entre frêre Roger, le franciscain le plus simple, et le jésuite et qui ressemble à une partie d'echecs mais avec des symboles religieux et qui se termine par l'abandon du Jesuite sur une histoire de pomme, et bien moi aussi je suis preneur!
Revenir en haut
Humour et bongag
lucas
Invité





MessagePosté le: 15 Mar 2010 16:38    Sujet du message: si c'est celle du duel entre frêre Roger, le franciscain le Répondre en citant

moi aussi je la recherche, elle se racontait au maroc dans des groupes d'adolescents scouts.



MessagePosté le: 06 Oct 2007 13:15 Sujet du message: jesuite franciscain Répondre en citant
si c'est celle du duel entre frêre Roger, le franciscain le plus simple, et le jésuite et qui ressemble à une partie d'echecs mais avec des symboles religieux et qui se termine par l'abandon du Jesuite sur une histoire de pomme, et bien moi aussi je suis preneur!
Revenir en haut
Humour et bongag
THE SHOW MEN
Invité





MessagePosté le: 15 Mar 2010 22:28    Sujet du message: THE SHOW MEN Répondre en citant

devener fan sur facebook du THE SHOW MEN c'est trop marant chaque lundi un episode nouveau est en onde 100% quebecois http://www.bongag.com/video-humour/utube_fNiNkMFiHMw
Revenir en haut
Humour et bongag
anonyme
Invité





MessagePosté le: 28 Déc 2013 20:37    Sujet du message: Répondre en citant

Au sud de la colline, entouré d'oliviers millénaires, un monastère de moines capucins se prélassait tout au long des saintes journées. Sous les arches du cloître étaient tendus de solides hamacs qui supportaient la sieste des frères aux heures chaudes de la journée. Dans les cours, sur le soir, l'on entendait les rebonds d'un ballon, des cris joyeux et beaucoup de rires. De la chapelle, au sommet de la colline, l'on pouvait distinguer l'opulente silhouette des capucins qui couraient après un ballon, ou se frappaient la cuisse et se tenaient leur gros ventre pour amortir un immense éclat de rire. Certains prétendaient qu'ils n'avaient gardé de la messe que son vin, de la communion que le pain entier et de la bible que le papier des toilettes, sans doute des paroles de mécréants jaloux de leur bonne humeur. Il est vrai que l'on entendait rarement la cloche sonner les vêpres ou l'angélus.

Un sérieux problème empoisonnait les relations des deux communautés religieuses, la chapelle était exactement à équidistance des deux bâtiments opposés : au Nord les Jésuites, au Sud les capucins. Si bien que l'on ne savait à qui elle appartenait. Ni le plan cadastral, ni les actes notariés ne pouvaient départager les deux communautés. Les Jésuites étaient seuls à faire un office dans la chapelle tous les dimanches, les capucins se contentaient d'y monter pour profiter du paysage ou pour jouer au cerf volant.

Les deux ordres n'avaient pas le même usage du lieu, et ce fait était source de conflits incessants. Lorsque les frères ennemis se rencontraient, les invectives fusaient. Au manque de sérieux dans leur foi que leur reprochaient les jésuites, les capucins arguaient que la mission des jésuites pour exterminer les protestants fut un échec évident. Aux signes de croix des jésuites, les capucins répliquaient par des bras d'honneurs.



Mais un jour, las de cette guerre fratricide, l'évêque du diocèse tapa du poing sur la table et imposa la résolution définitive de ce conflit. Comme les deux parties restaient sur leur position, la solution fut de jouer la chapelle. Les capucins proposèrent aussitôt de la jouer aux dés, à la belote ou au foot ! Mais les jésuites arguaient que ces jeux n'étaient pas assez religieux à leur goût et seraient refusés par la hiérarchie. C'est la mort dans l'âme que les capucins furent contraints d'accepter une joute de symboles et de signes religieux.

En quoi consiste ce jeu ? Je ne le sais pas moiâ??même, toutes les religions reposent sur une part de mystère, Je pense que les capucins n'en avaient qu'une vague idée, seuls les jésuites et les ordres proches du pape en connaissaient les subtilités. Autant te dire que les chances de victoire des moines du sud étaient bien minces. Il fut convenu que le meilleur jouteur des jésuites Père Benoit et le meilleur des capucins frère Anselme, se rencontreraient le dimanche suivant dans la chapelle à midi.

Ah, mon ami ! Quel calvaire subirent nos pauvres moines replets et rougeauds, contraints de tout miser sur la prière et la contrition pour espérer gagner cette joute . De mémoire de Provençal jamais on nâ??avait entendu autant de chants religieux, de cloches sonner les vêpres ou l'angélus, près du monastère capucin. Le chant des cigales était couvert par les cantiques qui résonnaient sous les arcades du cloitre .

Le dimanche suivant Père Benoit, fier et sûr de lui, monta la colline d'un pas alerte et en sifflotant, ditâ??on. Alors que frère Anselme semblait gravir son chemin de croix, triste et le dos courbé sous la lourde tâche que lui confiait son ordre.
Ce qui se passa dans la chapelle ce jourâ??là, seul Dieu en fut témoin.Ce que je vais te dépeindre n'est qu'une interprétation à la lumière des commentaires qu'en firent les deux jouteurs.
Imagine ce dimancheâ??là, à midi. Nos deux religieux se font face, chacun à l'extrémité d'une longue et massive table posée au centre de la chapelle pour la circonstance. Les yeux noirs de père Benoit scrutent le visage bouffi de frère Anselme où sur le front perlent quelques gouttes de sueur qu'il essuie d'un revers de sa bure.
Le Jésuite sort solennellement une pomme d'une poche et la pose sur la table. Frère Anselme, les yeux écarquillés, reste un moment immobile presque pétrifié. Il fouille dans sa bure puis dans la musette qu'il porte en bandoulière et en extrait un morceau de pain rassis, vestige probable d'un sandwich de la veille.

Père Benoit, imperturbable, tend l'index droit en direction de son adversaire. Le Capucin manque de tomber à la renverse à la vue de ce geste menaçant. Mais, se ressaisissant, il dirige vers son concurrent l'index et le majeur écarté en forme de V. Dès lors, l'on peut sentir une certaine fébrilité dans les réactions du Père Benoit.


Avec une rage mal camouflée, il tend trois doigts menaçant l'index, le majeur et l'auriculaire en forme de trident en direction de frère Anselme. Ce dernier, presque aussitôt, réplique en faisant un geste bizarre que certains voyous connaissent bien et que quelques linguistes auraient nommé subtilement : argot non verbal.


Il frappa avec la paume de la main gauche sur l'orifice que dessine le pouce et l'index replié de son poing droit fermé. Ce geste fort vulgaire, fit un claquement qui résonna en écho sur les murs et les voutes de la chapelle.

Père Benoit faillit s'effondrer de dépit et de honte. Il avait perdu la partie de symboles religieux. Cette défaite relevait d'une volonté divine qu'il ne saisissait pas. Lui qui avait consacré sa vie à la prière et à l'enseignement de la théologie, venait de se faire battre par un moine capucin ignare et alcoolique. En revanche frère Anselme arborait un sourire béat en observant son concurrent contrit et secoué de tics nerveux.

Quand le Jésuite rejoignit son institution, il trouva ses frères attablés devant une table hérissée de bouteilles de champagne qui n'attendaient qu'un signal pour exploser et se déverser dans des coupes en cristal. Sûrs de leur victoire, les malheureux jésuites avaient pêché par excès de confiance. Père Benoit au bord des larmes leur fit le récit de sa joute.
« Mes frères, je comprends votre déception, mais, avant de me juger, vous devez entendre le déroulement du jeu. C'est moi qui ai ouvert la joute en sortant la pomme du péché originel, auquel frère Anselme m'a répondu en sortant le pain du dernier repas . Je lui ai fait le signe du droit chemin avec mon index. Il m'a opposé la dualité du père et du fils avec le majeur et l'index tendu. J'ai aussitôt répliqué par le signe de la trinité trois doigts tendus »

Père Benoit interrompit un instant son récit pour laisser s'échapper un sanglot puis après avoir inspiré profondément, dans un soupir spasmodique et joignant le geste à la parole, il reproduisit le dernier signe obscène que lui avait asséné le Capucin.
â?? Il m'a fait le signe de l'Immaculée Conception, le fourbe ! Je n'avais plus rien à répondre, j'étais vaincu. Un nouveau sanglot acheva le triste récit.
Tous les frères jésuites de la tablée en convinrent, il n'y avait rien à répliquer, le Capucin, aussi incroyable que cela puisse paraître avait été le plus fort.
Quand frère Anselme, l'air réjouit, pénétra dans son monastère, il trouva les cours vides, un silence de mort régnait dans tout le bâtiment. C'est dans la chapelle qu'il retrouva ses frères agenouillés et psalmodiant la Bible comme l'auraient fait leurs frères musulman dans une école coranique.
â?? Relevezâ??vous mes frères ! » s'écria le Capucin victorieux.

Nous avons gagné ! » Et aussitôt il se lança dans le récit de son exploit, au milieu des moines qui faisaient un rond autour de lui, pendus à ses lèvres charnues qui déjà s'humectaient d'un bon verre de vin d'Aramon. Voici comment il commenta les six signes du jeu de symboles religieux, joignant les six gestes à la parole ainsi :

â?? Il me met une pomme !
Moi je lui plante un bout de pain !
Il me dit « je te crève un Å?il »,
je lui dis « je t'en crève deux ! »
Il me dit « je t'en crève trois, »
je lui dis « va te faire voir j'en ai que deux ! »
Revenir en haut
Humour et bongag
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Humour Index du Forum -> Humour et Blagues-> Cherche texte blague concernant des jésuites & fran Toutes les heures sont au format GMT
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous pouvez poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Accueil -- Argent video humour -- 4 Sketches videos
-- Voeux humour video -- Liens -- 1Gallerie video humour -- 1 Gallerie Video Gag -- Parodie du Grand Blond -- 3 Videos rire - Noel -- Parodie de l'EDJ

Partenaire: As-tu-vu

Powered by phpBB Group
Référencement